vendredi 6 juin 2008

Zeppelin de plomb!

free music


Après de long mois sans mises à jour, reparlons un peu de musique, et quelle musique!

Led Zeppelin est un des fameux groupes anglais précurseurs du Hard Rock.

Crée en 1968 par le guitariste Jimmy Page, la formation du groupe n'a jamais été modifié jusqu'à sa séparation en 1980, suite à la mort du batteur Jason Bonham.

Il était formé de Robert Plant (chants/harmonica), Jimmy Page (guitares/mandoline), John Paul Jones (Basse/piano-orgue/mandoline/guitare folk/flûte etc... ^^) et John Bonham (batterie/percussions).


Avec plus de 300 millions de disques vendus à travers le monde, le groupe est présenté comme un incontournable de la culture rock, et compte dans son impressionante discographie des titres tels que :

Stairways to Heaven, No Quarter, The Ocean, Black Dog, Battle Of Evermore, Good Times Bad Times, Communication Breakdown, I'm Gonna Leave You, Whole Lotta Love, Heartbreaker, Ramble On, Moby Dick, The Lemon Song, Immigrant Song, Rock & Roll, D'yer Mak'er, Kashmir...

Bien que le groupe soit classifié dans la catégorie « Hard Rock », le Zeppelin est connu pour avoir été un groupe touche à tout, jouant des ballades folks comme de la world music, du blues ou encore du rockabilly...


Le groupe s'est reformé fin 2007 pour un concert caritatif, avec Jason Bonham (le fils de John, que dis-je, son clone!) à la batterie, et les rumeurs sur une nouvelle tournée vont bon train...




Led Zeppelin - The Ocean




Led Zeppelin - Good Times Bad Times

dimanche 9 décembre 2007

Le Peuple...

...De L'Herbe!


Un petit peu de bon son electro jazz et DnB français avec ce groupe originaire de Lyon, crée en 1997 par DJ Pee, et DJ Stani, qui seron rejoint plus tard par le batteur rock Psychostick, le trompettiste jazzy N'Zeng, le MC anglais JC 001 puis Spagg, en remplacement de DJ Stani pour mener à bien des projets perso.

Le nom du groupe viens, vous vous en doutez, du cannabis... Lors de la création du groupe en 1997, les membres du groupe ésperaient un légalisation du cannabis. Les membres du groupe n'ont jamais caché qu'ils en consommaient, jusque sur scène.

Le groupe sort tout d'abord en 2000 Triple Zéro, leur premier album qui les fera connaitre.

Tracklist :

-1. Intro
-2. P.H. Theme
-3. Romantic
-4. Luvbit
-5. Electro M.J
-6. Herbman Skank
-7. Armaggeddon
-8. Reggaematic
-9. Groovambar
-10. Sexual Attraction
-11. Groovambar (Space Mix)
-12. P.H. Theme (Dub Party Mix
-13. Raggamatik (Dj Psychostick Version Pt.1)

Ensuite, il sorte un deuxieme album au son plus jazz grace a N'Zeng, nommé P.H. TEST TWO (mon préféré... ^^).

Tracklist :

-1. Intro
-2. Delice
-3. No Escape
-4. Escape Dub
-5. Blunted
-6. Inspiration
-7. 20 Years
-8. Rue De St Paul
-9. Lion Youth
-10. Mr Nice
-11. Parkside Souvenirs
-12. Transmissions
-13. Maison En Dur
-14. Interlude
-15. 1 Rythme 2 Chiens (NoteDeMoi ===> énorme!)

En 2005, c'est un album teinté de Hip-Hop qui sort, avec Cube, les Lyonnais nous démontrent qu'ils ont plus d'un tour sur leur platine et que le groupe est sans cesse a la recherche de nouveaux sons... (à noter que cet album contient quelques featuring, dont les Puppetmastaz sur l'excellente "El Paso").

Tracklist :

-1. Main Title Theme From "Le Cube"
-2. Mission
-3. Adventure
-4. Kin Sapalot
-5. Keep Rokin'
-6. Kesskonf'
-7. El Paso
-8. Boxin' Da Beat
-9. La Musique Electronique
-10. Mono K7
-11. Déjà A L'Ecole
-12. Honesty
-13. Down By Law
-14. Cad?
-15. Gumzilla
-16. St Cloud

Enfin, c'est cette année que la dérniere galette du Peuple en date est sortie. Radio Blood Money marque le retour à un son Electro plus important, et une mélodie très travaillée grace a l'utilisation d'énormement d'instruments "réel".


Tracklist :

-1 Yep !
-2 History goes
-3 Judge not
-4 Traces
-5 The fall
-6 Quai N°8
-7 Plastic people
-8 Dopebeats
-9 Viva la revolucion
-10 Riddim collision
-11 Free degree
-12 (Afini)

Keks infos sur certains samples utilisés...

  • L'extrait vocal de "Herbman Skank" (Triple Zero, piste 6) « On pourrait p'tét s'en faire un p'tit... Hum ? » provient de la fameuse scène des "Tontons Flingueurs", où les protagonistes sont dans la cuisine, goûtant au vitriol et à ses effets... Le morceau est basé sur un sample extrait du titre "Dub Fire" du groupe Aswad, paru en 1983.
  • L'extrait vocal entendu au début de "Groovambar" (Triple Zéro, piste 9) est un extrait de "La Classe Américaine".
  • L'extrait vocal de "Main Title Theme From Le Cube" (Cube, piste 1) « Boum, chebang... » provient de la chanson "Comic Strip" de Serge Gainsbourg, parue en 1968.







(en studio)





Snatch♦


Le film
Franky vient de voler un énorme diamant qu'il doit livrer à Avi, un mafieux new-yorkais. En chemin, il fait escale à Londres où il se laisse convaincre par Boris de parier sur un combat de boxe clandestin. Il ignore, bien sûr, qu'il s'agit d'un coup monté avec Vinny et Sol, afin de le délester de son magnifique caillou. Turkish et Tommy, eux, ont un problème avec leur boxeur, un gitan complètement fêlé qui refuse de se coucher au quatrième round comme prévu. C'est au tour d'Avi de débarquer, bien décidé à récupérer son bien, avec l'aide de Tony, une légende de la gâchette.
Tres beau casting, Benicio Del Toro, Brad Pit dans le rôle d'un Manouche champion de boxe à mains nu, Jason Statham,...
Voici le second film de Guy Ritchie, après " Arnaque, crime et botanique " qui eu un gros succès, il revient avec le même genre de film, encore plus tordu. Bande son magnifique, casting parfait, humour anglais, Bref tout pour me plaire ^^

Extraits

Snatch
envoyé par chral_59


Petite OST
free music

Human traffic


Le film

A Cardiff, une bande d'amis attendent avec impatience le week-end pour sortir en boite de nuit et s'éclater en prenant des drogues. Au cours d'une soirée, Jip et Lulu réalisent qu'ils sont amoureux l'un de l'autre. Moff rentre seul chez lui une nouvelle fois. Le week-end s'achève, l'effet des drogues aussi. Jip et Lulu forment un couple heureux et plein d'espoir dans son avenir.

Extrait


Fear and loathing in Las Vegas♦


Un film déroutant
Raoul Duke, journaliste, et son avocat, l'énorme Dr Gonzo, partent en virée à Las Vegas pour y couvrir un évènement majeur : une course de motos aux allures de kermesse populaire. En cette année 1971, l'Amérique perd ses grands rêves amenés par les années 1960, et se trouve plongée dans un cynisme outrancier... Cependant, ce voyage n'est qu'un prétexte. Les deux protagonistes, en effet, profitent de la virée à Las Vegas pour s'essayer à tout ce que le milieu de la drogue fait de mieux en ces années bénies. Mescaline, LSD, coke, et la très réputée Marijuana deviennent leur menu quotidien. Perdus dans des visions déformées de la réalité tangible, à coup de snif d'éther, ils vivront des aventures mentales entre psychopathologie et cauchemar éveillé. Toujours en quête de la dose en plus, ils sombreront dans des délires qui seront toujours à la limite de leur amener de gros ennuis...
Terry Gilliam, ancien membre des célèbre Monthy Python, nous offre une fois de plus un film de qualité, d'humour et " phyquedelique ". Johnny Depp brillant dans le rôle de Docteur en journalisme Duke, on pourrait même penser que ce personnage et tout simplement lui. Accompagné de sublime Benicio Del Toro, qui interprète à merveille Maître Gonzo.

Un livre à ne pas rater
Le film est adapté d'un livre de Hunter S. Thompson, publié en 1971 sous le même nom. Hunter S. Thompson est reconnu comme l'inventeur d'un style de journalisme ultra-subjectif qu'est le journalisme gonzo.

Quelques citations

« Bazooka circus est l'endroit que l'élite fréquenterait tous les samedis soirs si les nazis avaient gagné la guerre... On était en plein VI Reich. »
« Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme. »
« On avait 2 sacs bourrés d'herbe, 75 plaquettes de mescaline, 5 feuilles complètes d'acide en buvards, une salière à moitié pleine de cocaïne, une galaxie multicolore de remontants, sédatifs, hilarants, larmoyants, criants, plus une bouteille de téquila, une bouteille de rhum, une caisse de bière, un demi litre d'éther pur, et deux douzaines de Poppers. Non qu'on ait eu besoin de tout ça pour le voyage, mais quand on démarre un plan drogue, la tendance, c'est de repousser toute limite. »
« Le chien a baisé le pape. C'est pas ma faute ! »
« On va pas s'arrêter ici. C'est le pays des chauve-souris ! »
« Ether démoniaque ! Ca vous fait vous comporter comme l'ivrogne du village dans un roman irlandais. C'est la perte complète de toute capacité motrice. Vision brouillée, perte d'équilibre, langue pateuse. L'esprit se replie avec horreur incapable de communiquer avec la colonne vertébrale. Ca rend le phénomène fascinant. Vous pouvez vraiment vous regarder avoir cet horrible comportement mais vous ne pouvez rien contrôler. »

Scènes mythiques


Petite OST
free music

samedi 8 décembre 2007

"Flash, ou le grand voyage" de Charles Duchaussois♦


Preface

Flash en anglais, cela veut dire : éclair.
Pour un drogué, cela veut dire : spasme.
Le flash, c'est ce qui se passe dans le corps d'un drogué quand, poussé par le piston de la seringue, la drogue entre dans ses veines.
Ca à la violence de l'éclair et l'intensité du spasme amoureux.
J'ai donné un jour à une fille de cette poudre collante, un peu jaune, qui glisse comme à regret dans le creux de la paume, et qui est l'héroïne, le " cheval ".
Cette fille était en manque.
Elle pleurait en se tordant les mains tandis que je lui préparais sa piqûre.
Je l'ai calmée, doucement avec des mots tendres, tout en remplissant la seringue.
Je l'ai garrottée au bras, j'ai piqué dans sa veine saillante, au pli du coude, j'ai infusé le liquide fait d'un mélange filtré d'eau et de poudre.
Plus le liquide entrait dans sa veine, plus la fille se renversait en arrière, plus ses yeux se voilaient, plus ses joues rosissaient, plus elle haletait.
Enfin, elle s'est laissée aller en gémissant de plaisir sur le lit.
Puis elle a eu l'air de s'endormir, apaisée, heureuse.
Exactement comme après l'amour.
Elle avait eu son flash.
Et maintenant, elle était " partie ", " elle voyageait ", elle était " défonce ".
Alors, à mon tour, je me suis piqué et à mon tour j'ai eu mon flash, j'ai voyagé et j'ai défonce.
Il n'y a que la piqûre - la piquouze, le shoot, ou le fixe - qui donne le flash.
Voilà pourquoi tout vrai drogué, un jour ou l'autre, en arrive fatalement à la piqûre.
Et devient un junkie.
Un Dieu.
Ou une loque.
Au choix.

mercredi 5 décembre 2007

Bass Session #1

Enchainons tout de suite avec un article sur un de mes bassistes préférés et qui a un rapport direct avec l’article précédent puisque je vais vous parler de John « Thunderfingers » Entwistle !

Entwistle nait dans la banlieue de Londres le 9 Octobre 1944. Il se forme a la musique très tôt dans son enfance en apprenant à jouer de la trompette, du cor, et du piano, puis la guitare, avant de se mettre a l’instrument qui fera sa gloire : la guitare basse… (Comment l’est trop bien amené le sujet… ^^).

Avec son ami d'enfance Pete Townshend , ils recrutent Roger Daltrey et forment, au début des années 1960, le groupe ancêtre des Who: The Detours. En 1964, les trois musiciens entraînent avec eux le batteur Keith Moon: la forme définitive du groupe est adoptée.

Il était souvent considéré comme le membre du groupe le plus calme. Il avait en effet une technique très particulière qui consistait a… ne pas bouger … ( !) Cela contrastait avec la rapidité de ses mouvements de doigts (d’où le surnom « Thunderfingers ») et au carnage provoqués par ses collègues.

En parallèle avec les Who, Entwistle à mené une carrière solo en publiant plusieurs albums.

Musicalement parlant, il est connu pour avoir élevé la guitare basse comme instrument de premier plan, et pour lui avoir donné a l’instar de Paul McCarthney des Beatles un rôle plus mélodique que rythmique. Allant même jusqu'à mélanger les rôle avec les guitaristes, ces derniers s’occupant de la rythmique pendant qu’Entwistle se lançais dans des soli assourdissants.

Ci-dessous un bon exemple des capacités d'Entwistle... ^^